Projet « Vidéo Protection »
Tentatives d’effraction à la passerelle = 7000€ d’argent public dépensés.
Extincteurs vidés dans les gymnases : plus de 30 unités par an à recharger pour garantir la sécurité de tous.
Une maison cambriolée, ce sont des souvenirs, des bijoux, des cadeaux, une voiture qui disparaissent.
Les actes d’incivilité et de délinquance ont un coût tant pour les particuliers que pour la Commune
Suite à une concertation entre la Gendarmerie qui nous accompagne dans la démarche,
Lentilly va se doter du système de vidéoprotection le plus adapté à la typologie de notre Village.
Le cahier des charges est relativement simple, protéger notre patrimoine et faciliter le travail des enquêteurs tout en dissuadant la délinquance(délinquance qui vient principalement de l’extérieur de notre Commune et qui transite par notre territoire).
En d’autres termes, assurer le déploiement d’un système sur la Commune a pour objectif de prévenir les atteintes aux personnes et aux biens, de sécuriser les bâtiments et espaces publics (et notamment les équipements de l’hyper bourg tout comme les abords des établissements scolaires) et de faciliter la résolution
des enquêtes judiciaires en identifiant le ou les auteurs d’infractions à la loi pénale. Il s’agit également de renforcer le sentiment de sécurité des habitants.
Accompagnés par un bureau d’études spécialisé, nous avons, bien entendu, recherché les aides et subventions possibles, en suivant l’expertise de la Cellule de Prévention Technique de la Malveillance et Vidéoprotection de la Gendarmerie et de la brigade de l’Arbresle.
Ainsi, nous avons phasé le projet, afin de mieux répartir l’investissement propre et les aides proposées.
Une première tranche sera déployée dès la fin de l’année, elle va nous permettre de créer l’infrastructure, (Génie
Civil, fibres optiques, serveur, logiciel …) et la mise en place de 5 points de contrôle avec une ou plusieurs caméras.
Sur la question de l’utilisation des images captées par ces caméras : personne ne surveillera les écrans en temps réel. Il s’agit de vidéoprotection et non pas de vidéosurveillance. L’accès aux images nécessite qu’il y ait un fait générateur. Ce fait permet de consulter les images par des personnes habilitées et les forces de gendarmerie. Ces images ne pourront être utilisées que dans le cadre d’une enquête, sur réquisition du procureur de la République.